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Règle générale, les greffes marchent bien et ont une longue durée de vie quand ils sont de même espèce, et encore là, toutes les variétés ne vont pas bien prendre, la comptatibilité n'est pas toujours bonne.
Quand on change d'espèce, exemple un poirier sur un pommier, soit ça la greffe ne prendra pas car ils ne sont pas compatibles, soient elles vont se souder, mais après quelques temps la greffe va mourir.
Dans son arbre, il a greffé des espèces différentes, mais tous du genre prunus. Les prunus sont généralement assez compatibles entre eux, donc la durée de vie sera probablement bonne. C'est encore au stade expérimental pour certaines espèces, comme il le mentionne au début par rapport aux amandes.
Je dirais que c'est un projet intéressant, surtout quand on manque de place, ou dans son cas pour sauver les variétés qui allaient être détruite, c'est super. Ça a le désavantage que l'arbre doit être assez âgé pour qu'on puisse y greffer autant de variété, donc taux de reprise après transplantation qui va probablement être difficile, à moins que le jeune arbre qui servira de porte-greffe soit planté avant et greffé sur place. Bref, c'est pas pour Monsieur Madame tout le monde.
Ici on a commencé à se faire des arbres avec beaucoup de variétés, mais c'est simplement parce qu'on n'a plus de place disponible pour planter de nouveaux arbres, mais qu'on a de nouvelles variétés à tester.
Par contre l'article du Devoir raconte n'importe quoi. Dans son vidéo le gars spécifie bien que ce ne sont que des "stone fruit" alros que le Devoir dit que prunes et pommes se côtoient. Ça, ça m'étonnerait grandement. Il y a aussi des erreur botaniques dans l'article, mais on comprend l'essentiel.
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